[Sud-est] [Refuge] Dortoir 1

*Les créatures hurlèrent en prenant de plein fouet le pot de gélatine. Mais elles trouvent sans problème une ouverture et le dok se retrouve avec une partie de la peau de l'épaule déchiquetée et deux grands morceaux de peau d'une dizaine de centimètres partant en lambeau.*

Plaquage
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Cri strident cérébrale
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*L'une essaya d'attraper les jambes du Dok afin de le faire tomber, quant à l'autre, sa bouche s'ouvrit de manière difforme en laissant échapper un son strident et désagréable. Même un jet de Physique ne serait pas utile en raison d'un score aussi élevé de la part de l'énnemis... Le Dok est donc obligé de faire intervenir l'une de ses personnalités de son choix afin de faire une action propre à celle-ci. Quant au tour suivant, c'est cette personnalité qui prend totalement possession du corps du Dok.*

*Les créatures n'apprécient pas la gélatine, tant mieux, mais cela ne change pas grand chose, au final l'autre réussit à m'atteindre en me plaquant, je vois ma peau se déchiqueter sous ses dents.

La deuxième se met à m'attraper la jambe ce qui me bloquer et permet à la première qui était en train de bouffer mon épaule, elle me fixe avant de pousser un hurlement strident, impactant directement mes tympans.

Jeune MOI : "Qu'est ce que tu fous ! Reprends toi ! Je veux pas mourir ! Je veux pas mourir ! ! jJE VEUX PAS MOURIR !!"

Le son est horrible, la douleur incroyable, mon cerveau, résonne sous l'impulsion de la douleur. Je me sens partir. Je pars. Tout.. deviens... noir... Je ne sens plus rien.

...?*

MOI : "JE VEUX PAS CREVEEEER !!! Aaaaaaaaaaaaaaaargh !"

MOI : "Mon épaule, j'ai mal ! Pourquoi j'ai mal. Ces bestioles sont sur moi ! Qu'est ce qui se passe ! Pourquoi elle me touche, pourquoi elle me voit ?"

MOI : "Dégagez de moi !"

*Cette saloperie à la gueule encore grande ouverte. Cette conne de Natascha chiale de terreur à côté.*

Natascha : "Aaaah, qu'est ce qui se passe", en reniflant "c'est quoi ces trucs... vous, qu'est ce qu'....."

MOI : "Mais ta gueule ! Connasse, ferme ta gueule !"

*J'ai le scalpel dans une main, le laser dans une autre, sa grande gueule dégueulasse ! J'allume le scalpel en le bloquant sur puissance max et lui balance dans la gorge.*

MOI : "Un petit deepthroat pour papa gueule de plâtre !"

Jet du scalpel laser dans la gorge
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*Rah mon épaule me fait trop souffrir, je loupe mon putain de lancé, je vise la carotide, en tout cas là où elle est placé chez l'humain de base, avec l'autre scalpel.

Lame dans la carotide
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MOI : "Dans ta gueule ! Et arrête de chialer toi !"

*Natascha était en pleur, tétanisé, je ne sais pas ce qu'elle voyait, mais ça l'effrayait, qu'on puisse nous attaquer, est ce qu'il pouvait la blesser aussi ?

Sur le sol, proche du lit que l'autre avait défait pour voir la mémoire de l'insecte, il y avait la couette et les draps, et le matelas. Je les attrape afin de les balancer vers les circuits qu'on a détruit tout à l'heure, il y a la petite flammèche, en espérant que ça puisse prendre feu, en espérant que ça ait de l'effet sur ces merdes ! Et où il est le vieux ?*

Tissu de matelas, draps prennent feu
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*Je me rapproche du corps de Johnny, et avec mon scalpel coupe les bons endroit afin de récupérer une de ces tentacules, en espérance qu'il reste encore ce poison qui paralyse les proies. Avec un peu de chance, les flammes vont prendre, et cette tentacule peut me servir d'arme comme il faut, je pars pour en balancer un bon coup et l'enfoncer dans a gorge de l'une de ces sauterelles de merde.*

Tentacule pénis dans la gorge d'une banshee !! (Brazzers)
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*Et c'est à ce moment là que je l'ai vu, dans un des morceaux brisés de la fenêtre, mon visage, je suis vieux. Et à côté de Natascha, le vieux est là aussi.*

Vieux MOI : "..."

MOI : *le sourire me montant au lèvres* "Intéressant..."

Banshees :
Résistance
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Résistance
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*La carotide est touchée mais aucun sang ne semble en sortir... Quant au coup de tentacule, ça a eu pour mérite de la faire reculer, et elles prennent feu comme des allumettes, le problème, c'est que ça ne semble pas leur faire effet, à part peut-être les déformer un peu... Mais aussi en faire des ennemis-torches. Le dortoir aussi prend feu, alors qu'en bas, vue la température et la fumée, ça semble cramer aussi. Cela devait être une grande mode Eisenadlerienne de jouer avec le feu, mais quelque part, ça a toujours été.*

Attaques enflammées
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*Les Banshees chargent à nouveau, porteuses de flammes désormais. Le moindre contact ferait prendre feu, la moindre esquive ferait prendre feu à une partie du refuge, mais heureusement, tu vois un berger allemand courir vers toi pour sans-doute te sauver... C'est Aros, avec seulement une moitié de pantalon.*

Arrivant de la salle commune

*Je me croyais à ramper comme aux entrainements pour échapper aux tirs ennemis quand je me sentis légèrement risible, voir carrément ridicule quand je me rendis compte que j'étais en fait à quatre pattes alors qu'il n'y avait plus personne dans les environs et que j'avais le cul à l'air.

"Ainsi, je pourrais mieux te botter le cul, aurait dit mon pataud de surveillant instructeur , qu'on aimait surnommer GTO (Gross Teacher Onizuka)"

*J'arrivais vers la porte du dortoir quand j'aperçus la fille qui était là depuis le début mais qui n'avait pas bougé ni dit le moindre mot. Elle avait peut-être été la plus sage en fait puisqu'il ne lui était encore rien arrivé. Elle semblait ne pas me remarquer. Pourtant, à moi elle me fit une sensation de déjà vu, je distinguais mal son visage. Mon arrivée devant la porte du dortoir me sortit de mes "réflexions"*

*Entre le départ d'un feu, des monstres torches aux jambes de sauterelles ("je savais bien que la vieille avait parlé de sauterelles"), le dok gisant à terre, mal en point, l'épaule en lambeaux et avec une tentacule me rappelant vaguement un de mes organes (mais en beaucoup, beaucoup plus petit, mon organe je parle...), la situation était des plus confuses. Les monstres semblaient se précipiter sur le pauvre dok à l'agonie.*

*Les bêtes étaient en feu et il fallait intervenir tout de suite avant qu'elles atteignent le dok. En même temps que je sautais par dessus lui (qui dû avoir une belle vue inférieure de mon postérieur et d'autres choses qui dépassent), je me rappelais les leçons de mon instructeur le fuhreur Ken, qui traduisait ses techniques d'armes blanches par des mouvements de couteaux de cuisine. Ce qui tombait à pic, car j'en avais un.
Je pris donc mon couteau pour le lancer à la face de la première sauterelle avant d'essayer de porter un coup de pompe "dentifiée à" la taille de la deuxième par un grand balayement de la jambe.*

Technique du couteau de cuisine de Ken (-4 car c'était des techniques de main en fait)
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Coup de chaussure dentifiée
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*J'avais enfin le contrôle du corps, j'étais à la fois heureux et incroyablement énervé à la fois, pourquoi avait-il fallu que je reprenne le contrôle dans ces conditions. Cette douleur était horrible, après des années enfermé dans l'esprit d'un autre moi même, je redécouvre les sens dans les pires conditions qui soit. Enfin, peu importait à l'instant, survivre, survivre, et me venger.

Ces bestioles semblent ne rien craindre, les drogues, s'il en restait dans la tentacule... le feu... le scalpel, ce liquide bizarre qui sortait de leur corps. Rien d'humain là dedans, pas de douleurs non plus, il ne fallait pas perdre de temps, où elles vont finir par me bouffer, à moins que je ne meurs de brûlure avant, ce serait des plus regrettable.

Mon vieil alter ego était silencieux, spectateur... Il ne se rendait probablement pas encore compte de ce qu'il lui arrivait. Jusqu'à aujourd'hui, il avait toujours réussi à nous contenir. Ces saleté font aussi des dégâts au niveau du cerveau, il vaut mieux être prudent, je ne veux pas voir le maréchal dans les parages.*

MOI : "Eh bien ! On fait quoi ! On crève où on continue."

*Peu importe comment, je ne voyais pas d'alternative, seul, sans armes, dans une telle situation, je ne suis rien. Je n'aurais jamais dû suivre cet escadron et faire cette expédition à ma façon. L'empire regrettera ce geste. Le reste aussi. Je ne savais pas où était les autres, s'étaient ils enfuis, étaient-ils déjà mort. Si je m'en sors, je n'oublierai pas de buter cet enfoiré et je récupérerais son robot.

J'entendais alors du bruit....

Sora, le soldat arrivait vers moi, et assez dévêtu, ces vêtements ont brûlé vu leur état, qu'est ce que cela signifiait, il ne vient pas du dortoir. Il y aurait le feu également en bas. Survivre va être encore plus dur que je ne le pense.

Il commençait à attaquer les saloperies, très bien, ça me laissait quelques secondes pour reprendre mes esprit et me relever*

MOI : "Ach ! J'ai maaaaaaaaaal !..... ne vous occupez pas de moi !"

*Je récupérais deux draps sur d'autres lits.*

MOI : "Sora, si vous pouviez retenir ces deux bestioles, je pars vers la salle de bain mouiller ces draps afin de nous recouvrir, vu votre état, ça brûle en bas également, ce n'est pas grand chose mais ça devrait nous protéger un minimum.*

*J'ouvrais la porte*

MOI : "Retenez les le plus possible ! Ah oui, et si possible, il faut qu'on récupère la gamine allongé dans le couloir, morte, vivante, irradié, peu importe. Elle nous sera d'un grand secours pour rentrer au bercail."

MOI : "Et elle facilitera mes plans de vengeance."

*J'ouvrai la porte.*

MOI : "Attention à la fumée qui monte, elle est aussi dangereuse que les flammes ! Ces bestioles ne craignent ni la douleur, ni la chaleur, ni les poisons, je ne crains que ce soit des machines. Aidez moi, et je vous aiderais. Mon nom est Hildegard Von Bach, mais les autres m'appellent Doktorr !"

*Avec les draps, je m'aventurais alors vers la salle de bain.*

Aros :
Esquive du couteau de cuisine de Ken
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*Dommage, un coup pareil aurait pu faire en sorte qu'elle soit déjà morte sans le savoir mais un simple mouvement de patte arrière avait suffit pour esquiver la lame, c'était l'avantage des pattes de sauterelles : sauter très haut et très loin, et donc esquiver facilement.*

*Elle répliqua en tentant de t'attraper le cou avec sa tentacule, enflammée qui plus est.*

étranglement
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*L'autre, en revanche avait volé jusqu'à tomber sur le dos de l'autre côté du couloir et prit du temps avant de se remettre.*

Esquive coup de pompe
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*Mais comme si ça suffisait pas, trois autres apparurent : deux venant de deux autres fenêtres, et l'autre des escaliers. Les trois étaient en feu, elles bloquaient le passage au premier Dortoir, seule fenêtre encore intacte autour de vous... Aucune d'entre elle n'était pour le moment rentrée par là, il s'agissait de la fenêtre ayant vue sur le cimetière. Vous car le Dok était revenu à tes côtés, une poignée de porte à la main et un drap mouillé dans l'autre.*

*Je m'amusais comme un fou à me déchaine sur ces bestioles mais elles étaient coriaces. Mon lancer de couteau avait échoué mais j'avais envoyé l'autre à travers le couloir.
Dans la cohue, le dok en avait profité pour filer, il devait revenir avec des draps mouillé mais j'avais surtout retenu qu'il voulait garder le corps de la fille dans le couloir, ce qui renforça mon intrigue quand j'avais revu cette femme tout à l'heure. Si le dok y attachait tant d'importance, cela valait-il la peine de prendre le risque d'aller la chercher? Pas trop le temps de réfléchir. Celle qui avait évité le couteau revenait pour m'étrangler. Elle était en feu. Je profitais de porter mon casque pour lui sauter dessus tête la première.*

Coup de boule casquée
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La bestiole avait réussi à me stopper en me prenant au cou par en dessous, ces saloperies étaient musclées.

"Ha ha, tu résistes toi"

Elle commença à me soulever du sol et sa tentacule me brula la gorge. Je saisis cette chance pour lui donner un grand coup de pied de bas en haut en visant la tête.

Coup de pied
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Elle lâcha prise mais pas le temps de voir les dégâts que je lui avais fait, le dok était revenu avec une poignée de porte et les draps mais d'autres bestioles avaient fait leur apparition juste après, 3 pour être exact.

"Dok, je m'amuse comme un fou *Tousse, tousse*, je suis partant pour me jeter dans les flammes pour aller chercher cette fille, elle m'intrigue vraiment, qui est-ce exactement?

*Il me répondit que c'était la nièce de Gottfield. Je me rappelais l'histoire qui avait couru à propos de cette fille et de sa fugue et je compris mieux ce qu'avait voulu dire le dok*

*L'excitation me gagna encore plus mes les bestioles barraient la route. Je repris mon couteau par terre. Puis je pris un drap au doc pour m'en envelopper avant de prendre le matelas devant moi. Non pas pour sauter avec par la fenêtre mais pour courir comme un fou contre la bestiole qui barrait le passage. C'était un matelas rigide et assez lourd, en le tenant à l'horizontale, j'espérais au moins renverser la bestiole de devant la porte qui menait au couloir.

Coup de matelas belier
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[ptain je suis verni]

"Une occasion comme celle là ne se représentera pas, sa nièce, tu imagines dok, les portes que ça va nous ouvrir. Alors, tu te ramènes?

* De la fumée venait du couloir et je voyais la face du dok se décomposer devant ma proposition. De plus, quelque chose d'étrange avait changé ses gestes et son regard.

*Après être revenu dans le dortoir, Sora était toujours aux prises avec ces animaux, j'allais lui passer un drap quand il me demandait qui était la fille à récupérer.*

MOI : "C'est la nièce Gottfield soldat, faut pas qui lui arrive quoique ce soit !"

*A peine je lui donnais cette information, il nous ouvrait le passage sur le couloir pour récuperer la demoiselle en détresse.*

Vieux MOI : "Tu es au contrôle, c'est une chose, mais tu vas trop loin, on ne peut pas lui faire confiance ! Tu n'es plus dans ta bulle maintenant, tes actes ont des conséquences ! Tu lui en as trop dit, notre nom, la fille !"

MOI : "La ferme, la donne a changé vieil homme, le jeu a changé !"

Vieux MOI : "Ce n'est pas un jeu !"

*Sora me proposait d'aller à ses côté en bas, le choix était vite fait, dans le dortoir il y avait encore ces monstres. Je lui refilai un drap humide.*

MOI : "prend la gamine et met ça sur toi, ça devrait protéger des ff.. *Ma douleur à l'épaule* flammes. C'est pas grand chose mais ça devrait protéger un minimum, pour la suite on v.."

*Tout à coup, on entendait un cri de Darlana hurlant "Ça va péter !!"*

MOI : "Dépéchons nous, ça sent pas bon !"

* J'ouvrais la voie vers la salle commune laissant le soin de la gamine au soldat fou et j'entrais dans la fumée en respirant le moins possible la bouche et le nez recouvert dans les draps.*