[Ouest] QG de la division 5.5.2

Spoiler:

*Secteur de l'Office. Un endroit calme où il ne règne peut-être pas la paix et l'harmonie mais tout de même. On peut avoir une situation acceptable et bien en vivre quand on est pas trop carriériste. La place principale du quartier Ouest du Secteur O possède une sorte de gros bunker gardé par des barrières de sécurité et dont il est strictement interdit d'approcher. Il s'agit d'un QG de division de l'Armée comme on en trouve dans beaucoup de quartier. Il est assez difficile de vivre dans un QG militaire de ce genre quand on en a pas l'habitude. Les dortoirs comptent une vingtaine d'hommes par chambres. Un côté du bunker pour les filles, l'autre pour les garçons. Au centre, la cantine et l'énorme camp d'entraînement, la journée est réglée comme du papier à musique lorsqu'un soldat n'est pas en mission et qu'il est au bunker :

5h00 : réveil
5h10 : entretien des locaux
5h45 : petit déjeuner
6h45 : rassemblement compagnie (ordres pour la journée)
7h00 : séance de sport (course à pieds)
8h00 : séance de sport (arts martiaux)
9h00 : remise en condition
9h30 : instruction armement
10h15 : mise en application
12h00: repas (sur place)
13h30 : rassemblement compagnie (point sur la matinée et programme de l’après-midi)
13h45 : entretien du matériel
14h30 : instruction topographique
15h30 : mise en application
17h30 : rassemblement compagnie (point sur l’après-midi et programme du lendemain)*

*Le tout est quasiment sous terre, illuminé en permanence par une lumière artificielle rappelant tout de même la lumière du jour, bien que celle-ci de nos jours soit d'un inquiétant sombre d'une fin d'après-midi d'hiver quand l'horloge affiche 12h30.*

*La division 5.5.2 compte approximativement 10 000 hommes, en général que des soldats ou des soldats lourds. Quelques spécialistes et infirmiers également. Sa spécialité? Les missions de sauvetages, quand la ECJ a besoin de gros bras.*

Zen Gannon :
*Tu reviens de permission après une bonne semaine de repos, tu en avais besoin : la dernière mission avec ton pote Barthélémy (alias Bart) a été périlleuse. Vous avez sauvé la vie d'une jeune lycéenne d'un fou dangereux et c'est vous deux qu'on a envoyé au casse-pipe. Le type avait faillit t'arracher le bras à coup de scie circulaire, il se trouvait que ça avait un lien avec une boite de raviolis piégée acheté la veille par la lycéenne qui avait promit à un groupe de copines de pourtant faire un régime, et le psychopathe, qui n'était autre que son diététicien (car oui, la lycéenne était en réalité une top modèle), a voulu à tout prix lui faire subir une vivisection. Vous avez sauvé la lycéenne, mais celle-ci a perdu son domicile à cause de l'explosion de la boite de raviolis piégée, on a d'ailleurs jamais su pourquoi ni comment la boite en question renfermait une bombe... Bref, Bart et toi avez faillit y passer, vous avez un peu peur pour les top modèles et vous ne regardez plus vraiment la TV (de toute façon à part cette émission à la con où des amateurs se charcutent à coups d'armes dans des arènes, le reste n'est guère mieux...) et cela fait longtemps que vous ne mangez plus de raviolis non-plus, ayant développé une certaine parano aux boites de conserve explosives... Enfin, maintenant, ça va mieux.*

*6h45, rassemblement. Tu t'es pointée en tenue de soldat, tout comme tes collègues. Une dizaine aujourd'hui, Bart parmi eux qui te fera un léger signe de tête à ton entrée avant ton rangement dans les rangs. Le lieutenant passe en revue les soldats et s'adressent à vous pour une mission.*

-"Messieu, je ne vais pas passer par quatre chemins. Cela fait trois jours que la station médicale 72 du secteur P est sous silence. Des collègues de l'ECJ y sont allés et ne sont jamais revenus, eux aussi sous silence total, c'est donc qu'il se passe quelque chose d'anormal, donc les ordres sont claires : on y va, on voit, on fait le rapport, et on extirpe les survivants. Des hypothèses nous disant qu'il s'agit d'un incident suite à une erreur sur la conception d'un nouveau médicament, rien de sûr mais il s'agit juste de la toute dernière information que nous avons reçu de la station avant sous silence. Equipez-vous donc de ce que vous souhaitez selon votre classe, soldats. Et n'oubliez surtout pas les masques à gaz ! Des questions?"

*Les questions, on pouvait toujours en poser, même stupides, c'était autorisé avant d'aller en mission, ensuite, une fois sur le terrain, on obéissait aux supérieurs.*

*Le soldat lourd, appelé aussi le Heavy dans le jargon de cette division avait le choix entre 3 armes principales :
- La gatling portative : très lourde et avec une grosse difficulté de mouvement mais néanmoins efficace en envoyant une pluie de balle.
- Le lance-grenade : plus movible mais long à recharger.
- Le bon vieux lance-flamme : pratique pour le nettoyage en masse, surtout ce modèle.

Et également 3 armes dites secondaires :
- Fusil à pompe
- MP-5
- Duo de pistolets lourds*

[HRP : Si tu veux des infos en plus sur les armes, c'est bien entendu possible]

*Le réveil avait été dur ce matin, la semaine de permission n'avait été que trop courte. Après une mission comme la dernière, ça aurait dû être un mois. Le rassemblement allait commencer, je peux déjà voir les gars prêt au garde à vous, et mon compadre de toujours Bart, j'ai hâte qu'il voit la boite de raviolles que j'ai laissé sur sa couchette. J'en ris déjà.
Un salut de la têt quand j'arrive sur son passage.*

- "Salute !!"

*Et je me mets en place, le lieutenant commence alors son discours, un base scientifique, des recherches écourtés, conception de médicaments, des secours en silence radio.*

- " Oh fuck oh fuck ! Bart tu me reçois, ça peut être qu'un chose, ce serait trop géniale si c'était ça ! "

*Encore une tenative de télépathie, même si on lisait pas vraiment dans nos pensées, Bart devait sentir les choses comme moi....... Des questions...*

- "Une base scientifiques, medocs, zero contacts, rassurez moi lieutenants, on va se fritter contre des zombies ? Que je sache si j'emmene mon appareil photo pour avoir des souvenirs !"

*Cette blague ne ferait pas probablement pas rire le lieutenant, mais ce genre de plan, ça sent le mort vivant à des kilomètres. Mon choix se porte donc sur le lance flammes et les deux pistolets lourds. Le fusil à pompe est cool pour exploser de la cervelle mais trop long à recharger, et si y a pas de zombie sur place, je pourrai toujours faire un barbecue avec les gars, on a de quoi faire un bon feu.*

*Intérieurement, les soldats riaient sans-doute mais ne bronchèrent pas, à part Bart qui avait échappé un rire retenu du nez. C'est qu'il lui avait manqué son Zen ! Le duo faisait toujours les 400 coups ensemble afin de remonter le moral des troupes, et ça marchait plutôt bien. Si Bart découvrait une boite de raviolis dans son coussin, il ne serait pas impossible que Zen en retour se retrouve à transporter une caisse entière de raviolis en croyant livrer un arsenal de grenades. Bart était aussi bon pour les tours de passe-passe, après tout, il a une soeur illusionniste avec qui il s'entend très bien. Pas touche à sa soeur d'ailleurs, ou c'est la mort assurée.*

*Le lieutenant s'approcha assez prêt de Zen pour que seulement 10cm les sépares. Lui par contre, il était pas du genre à aimer les blagues, même si il se permettait de son côté de remettre en place les petits rigolos à sa façon.*

-"Caporal Gannon, vous avez sucé un clown pendant votre permission dites-moi ! J'espère pour vous qu'il ne s'agisse que de zombies, comme vous dites, ces trucs-là ne bouffent que de la cervelle, ils n'auraient pas grand-chose à gober dans votre petite tête ! Vous voulez prendre des photos soldat? J'vous charge de le faire ! Et y a intérêt que ce soit des photos servant à un rapport militaire et qu'elles soient aussi net qu'unes des chattes de votre magazine porno !"

*Il lui balança presque l'appareil dans le foie, et se rapprocha un peu plus afin de maugréer une instruction entre ses dents en faisant le fameux "doigt méchant" d'un papa menaçant.*

-"Et si je vois UN SEUL de vos poil de cul sur cette carte mémoire sur des photos que vous jugerez vous-même de "drôle", j'vous jure que j'vous carre directe l'objectif grand angle dans le rectum et que je fais une photo de votre prostate !"

*Bart ne tenait plus et éclata de rire.*

-"CAPORAL MITSVA ! CA VOUS FAIT RIRE? 16 POMPES !!! EXECUTION !!!"

*Bart s’exécuta, ce n'était pas vraiment un problème, il tenait 100 pompes d'une main, même si c'était compliqué à l'heure actuelle d'en faire 16 tant il se marrait.*

-"Du sérieux et de la discipline bordel ! On a peut-être des vies à sauver, tas d'bolosses ! Alors on se traîne le fion sur la piste de décollage pour rejoindre vos transports et fissa !"

*La petite division avait l'habitude de prendre un vaisseau de transport propre à eux afin de ne pas changer les manoeuvres et garder toujours les mêmes et les plus efficaces. Bart et Zen étaient naturellement dans le même mini-vaisseau de troupe qui transportaient 4 ou 5 hommes, pilote compris. Pour le duo, vue leur gabarie à l'un comme à l'autre ; mais aussi celui de leur pilote, Marla, une brune bien rondouillarde à la voix d'homme mais néanmoins attachante et efficace ; ils ne pouvaient être que 3 avec leur matos lourd habituel. Bart avait opté pour la sulfateuse et prit lui aussi un duo de gros calibre. Marla accueilli Zen bras ouvert, c'est qu'il lui avait aussi manqué son Zennounet... C'était un peu la seule personne capable de briser une colonne vertébrale rien qu'en faisant un câlin... C'est déjà arrivé... pas à Zen, heureusement, prudent qu'il était !*

-"Content d'te r'voir Capor... Mais qu'est-ce que vous avez à vous marrer comme des bossus encore?! Et c'est quoi cet appareil photo avec un objectif aussi lourd? Tu caches un bazooka là-dedans ou quoi?"

*Bart était obligé de se tenir à sa sulfateuse pour ne pas tomber plier en quatre de rire.*

-"Meuf, c'est son futur sex-toy et... ppfffFFFWAAAAHAHAHAAAAAHAHAAAA !!! Je meurs !"

*Avantage de voyager avec Marla également : elle mettait toujours de la bonne musique, mais était toujours hallucinée par le nombre incalculable de conneries de ses collègues, enfin, au moins, elle, ça la faisait marrer.*

*Le lieutenant s'était approché de moi de très près, pendant quelques instants j'ai presque eu peur qu'il m'embrasse, et avec cette haleine, pas sur que je me réveille, c'est l'anti prince charmant ce gars, et même pas de sens de l'humour.
En volà un qui se marre.*

- "Thanks Bart, j'ai failli y passé, mort par suffocation !"

*Et voilà, 16 pompes, 16.... sérieusement, pourquoi 16 et pas 20, ou 15...? 16.... Et voilà que je suis responsables des photos de la missions, j'espere qu'ils aiment bien les selfies !

Enfin, pon part direct à la piste de décollage, matos en main, ça va changer les idées.*

- "Allez Barto, bouge tes fesses, fatigués par tes pompes, on a rendez vous avec notre dodu préféré.. j'ai dit ça à voix haute, faut que je fasse gaffe.. "

*En parlant du diable, la voici qui arrive, Marla, une petite demoiselle aussi robuste qu'un soldat bourru, et hop... le free hug habituelle.*

- "Tu nous as manqué aussi, quant au pourquoi de l'appareil photo, je dois prendre des photos aussi clair que mon porno mag... problème, je sais pas comment sont les photos dedans, Bart me l'emprunte et me le rend les pages collés, j'ai jamais pu feuilleté le magazine."

*J'ai vraiment un humour de merde des fois, mais moi, ça me fait rire.*

-"Donc si les photo puent du genou, ou qu'il y a un peu trop mes doigts dessus, c'est la faute du puceau qui compensent en ramenant une sulftateuse, c'est pas un petit gros pour toi, t'es sur que tu pourras manier l'engin...
Et fait gaffe à pas cracher les balles trop tôt."

*Je met mon lance flammes en avant.*

- "Tout le monde sait que les zombies, ça kiffes pas les flammes. Prête à zigouiller du mort vivant Marla ? Et m'excite pas trop mon partenaire, avec une sulfateuse comme ça, il tirera pas à blanc."

*Après voir balancé assez de conneries pour tout une année, je m'équipe mes deux petit joujous et rentre dans le vaisseau.*

- "C'est parti mon kiki !"

*16 peut-être parce que justement le lieutenant ne sait pas compter au-delà... C'est ce qu'en a déduit Marla une fois, suivit de quelques trucs assez dégueulasse justement au sujet de son haleine... Il avait encore dû la traiter de grosse, chose qu'il ne faut pas faire avec elle, comme avec toutes les femmes d'ailleurs... Il n'y avait que Bart et Zen qui pouvaient se permettre, eux ils avaient le droit parce que ... Bah parce que c'était eux, point. Bart répliqua quant aux magazines, pendant que Marla mettait les Beach Boys.*

Spoiler:

-"Non mais attends bro normal ! Au milieu du magazine y a une photo de ta mère et elle est tellement ..."

*Dés que ça parlait de la mère de Zen, c'est que ça allait dévier sur la soeur de Bart, qu'ils risqueraient de le prendre mal l'un et l'autre, qu'ils se foutraient sur la gueule, qu'ils s'en voudraient puis après qu'ils feraient la paix en se marrant encore et encore et que ça n'allait pas en finir... Marla détacha deux secondes son harnais de sécurité pour attraper un bonhomme dans chacun de ses gros bras dodus et les serrer contre son énorme poitrine, sincèrement heureuse comme jamais... Même si les deux gros engins (je parle des armes hein...) des deux soldats s'entrechoquèrent, Marla prit une grande inspiration.*

-"Ha putain... Vous m'avez manqué les gars, sisi j'vous jure... C'est tellement chiant de trimballer de la bleusaille qui rougit dés qu'on dit le mot "pénis" ou "chatte" que vos blagues de gros machos de merde en mode pipi-caca en sont presque jouissives ! (sans vouloir passer pour une scato)"

*On dira ce qu'on veut mais les lolos de Marla étaient tout de même les plus confortables du monde, mais elle n'oublia tout de même pas les propriétés.*

-"Bon allez les filles, on s'attache en espérant que vous ayez pissé avant de partir parce que y aura pas de pause. Si ça secoue trop vous savez où sont les p'tits sacs, et Zen, je T'INTERDIS de chier dedans MÊME si les haricots du p'tit dej' n'étaient pas frais ! Parce que j'veux bien pas être délicate et surtout que c'était dans l'urgence mais après mûre réflexion, non, c'était franchement dégueulasse !"

*Bart ne manqua pas de répliquer de son côté.*

-"Non mais attends surtout que le mec il a un lance-flamme ! Sérieux retiens tes gazes sinon on va exploser ! Et je manie encore mieux la sulfateuse que ma bite !"

*Marla hocha de la tête alors que le vaisseau décollait, en dernier le plus souvent, le vaisseau du trio ouvrait ou fermait la marche, leur position à eux était derrière.*

-"Donc ça rejoint c'que disait Zennounet, les balles partent toujours trop tôt, c'est ça?"

*Et il haussa la voix à son tour.*

-"Non mais quel homme normalement constitué n'auraient pas les balles qui partent trop tôt avec toi, ma belle?"

*Elle lui fit un baiser volé de loin de par le rétroviseur puis prit sa trajectoire avec les autres navettes.*

-"Tu dois être sérieusement en manque pour arriver jusqu'à ne serait-ce penser à moi... Je comprends mieux les pages collées du magazine ... D'ailleurs Zennounet, tu vas prendre des photos de nues de zombies? Sacré concept ! Tu vas relancer la mode du porno nécrophile ! Et je zigouille pas du mort-vivant moi, je fais le taxi et la com ! C'tout ! Puis on est sûr que ce sont bien des zombies au moins?"

*Bart haussa les épaules.*

-"C'est le principe d'une expérience qui foire : ça propage un virus qui réveille les morts ... Un peu comme les pets de Zen en fait ! Merde mec !!! T'as posé ta crotte en plein Secteur P pour être pénard et ça a foutu tout ce bordel? Et après tu me demandes pourquoi j'ai besoin d'une sulfateuse???"

*Les navettes quittent bientôt le Secteur P, c'était un peu le moment pour Marla de décrocher des blagues et de se concentrer sur la manoeuvre. Les immeubles et la circulation du peu de véhicules du Secteur O défilaient sous la flotte... Et sous les Beach Boys concernant le transporteur des lourdeaux (dans tout les sens du terme).*

*Barto voulait jouer avec la famille, il en oubliait qu'il était le plus susceptible.*

- "Bah tu sais que te prête mes bouquins parce que tu me prêtes ta soeur.. d'ailleurs la dern.."

*Et Marla de nous prendre la tête dans ses nibars dodus, c'est la deuxième fois que je risque de mourir d'ashpyxie aujourd'hui, ça commence bien.

Marla nous racontait ses déboires avec les bleusiot, et nosu ressortait cette vieille histoire..*

- "Hé je te rappelle que c'est toi qui avait refusé de t'arrêter, je t'avais dit que je pouvais pas me retenir."

*On avait tous le sourire dans le vaisseau à balancer des conneries plus grosses que nous. Le calme avant la tempête.*

-" Hé mon vieux, je sais pas si c'est moi qui ai réveillé les morts, mais en tout cas, je risque de buter de l'officier. Je me suis lâché dans les chiottes des gradés avant d'arriver ce matin, du nucléaires, c'est pourtant pas faute d'avoir éviter les raviolis au C4 au petit dej'...

Bon moi je fais un somme, et j'aimerai éviter de me réveiller en solo dans un hôpital, ce serait cool, vous savez que je suis pas fan des clichés."

*Je buvais une gorgée avant de fermer les yeux, puis je posais les mains sur mes deux canons.*

*La petite flotte de transporteur semble s'approcher de plus en plus de la zone de mission.
1er problème : un énorme brouillard pourpre tout à fait anormale. Marla réduit du coup la vitesse du transporteur, l'écran d'information annonce un gros risque d'air toxique sur une échelle de 6 sur 8.
2é problème : la radio semble totalement se brouiller sur toutes les fréquences, on ne peut plus entendre qu'un cracha numérique désagréable.*

-"Ici transport India ... Transports Alpha et transport Bravo, répondez ..."

*Marla essaye la fréquence sur sa radio portative, Bart eu le même réflexe, mais il semble y avoir le même brouillage, et ce n'était pas quelque chose de normal du tout... Marla ralentit encore la vitesse en voyant que la purée de poie gagne en intensité et en épaisseur, ce qui ne semblait être que de la poussière pourpre se transforma peu à peu en grosse flasque cylindrique s'écrasant contre le par-brise du transporteur.*

-"Bordel de merde !!! Mais c'est quoi ça???"

*Le vaisseau semble en plus prendre carrément des dégâts physique, jusqu'à ce que Marla hurle de surprise et évite une sorte de parasite encore plus monstrueux faisant bien la taille d'une citrouille, jusqu'à au final percuter encore uns de ces autres trucs bien deux à trois fois plus gros donnant une secousse et faisant faire un tonneau. L'écran affiche une alerte majeure et des dégâts affichant 70%. Autre chose anormal : il faisait chaud... TRES chaud, une sorte de chaleur intensive avoisinant les 50°C.*

-"Ces saloperies ont juste littéralement explosé les boucliers et les réacteurs ! Accrochez-vous à vos slips !!! L'atterrissage risque d'être difficile !!!!"

[Prochain poste : Station médicale 72, 5é entrée.]